[RP] Chambre du roy de France

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Inconscient, le roi était inconscient, le roi inconscient ? Le dirigeant du royaume inconscient ? Son cousin inconscient ? Son arrivée à Versailles plus qu'une bénédiction, une malédiction ? Du moins, pour le roi. Son arrivée sur le trône ne serait peut-être pas une malédiction, c'était ce qu'il pensait, lui seul et les artistes. Imaginer que le roi soit tombé inconscient dans des conditions qui frôlaient le ridicule. Imaginer que le roi venait à mourir et que d'autres que lui, revendiquaient le trône. La France serait à son tour tombée après son roi dans un chaos interminable. Peut-être la fin qu'avait pu prédire ce vieillard regardant Paris et ses habitants était proche. Peut-être aussi, n'était-ce qu'une bosse sur une tête déjà bien enflée. Pour une fois, il en était ravi, les courtisans agissaient plus qu'ils ne parlaient - bien que leur titre ne leur demandait pas chose extraordinaire, loin de là -. Louis-François après ces quelques secondes de " réflexion " alla rejoindre ses domestiques pour s'équiper, et partit muni de sa belle canne en direction de la chambre royale, là où se trouvait le roi inconscient de France.

Le roy était là. Dans son lit, sans bouger. Pourtant les courtisans se piétinaient. Ils se bousculaient. Les gardes fussent appelés d'urgence pour venir renforcé la garde existante dans la chambre du roy. Les gardes suisses faisaient sortir les courtisans et fermaient les portes. L'inconscience du roy se déroulait maintenant à guichet fermé. Les paris fusaient dans tous les sens. Pour savoir si le roy allait mourir, ou si il allait survivre. S'il allait mourir, qui prendrait la couronne. Les médecins, après avoir fait leur diagnostics, discutaient entre eux.

Pendant ce temps là, les gardes firent ouvrir la porte pour laisser entrer le prince. Aussitôt un médecin vint à la rencontre du prince:

Monseigneur. Salutations. Le roy est dans un profond sommeil. Sans doutes à cause de fatigues et d'une forte fièvre. Rien de grave. Dans une semaine ou deux sa majesté sera rétablie.

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Le roi se portait au grand soulagement de son cousin, Louis-François. Il se portait dans certaines conditions, il vivrait, il remontrait sur le trône dirons-nous simplement et justement. Son " grand soulagement " fut traduit par un maigre sourire au coin des lèvres, - lèvres n'ayant plus servis au profit de son pays -, lui ne s'imaginait pas monter sur étalon pour mener les batailles nécessaires à sa prise du trône dans son grand âge - bien qu'il l'aurait assurément fait -. Il reprit dès cette annonce le rôle de l'homme rêveur, rêveur d'une France. Il fit quelques pas lourds et lents vers cet homme qui n'était que le roi. Aussitôt qu'on n'entendit plus les raisonnements de pas, il appela domestiques pour un fauteuil. Une fois installé sans détourner son regard du roi, il ne dit rien.

Le prince ne dit rien? La reyne n'a toujours pas été prévenue? Le médecin reste étonné de la réaction du prince. Il fallait surveiller le roy pour une possible aggravation de son état. Je restais dans mon lit, inconscient de tout ce qui pouvait se passer dans la pièce. Le médecin regarda bizarrement le prince:

Monseigneur.. La France ne peut rester sans chef pendant deux semaines.

Dans la hiérarchie nobiliaire, Louis-François était le premier prince de sang. Le médecin reprit donc à voix plus basse;

Durant la convalescence de sa majesté.. Il serait peut-être préférable que..

Il fit une pause. Comme pour annoncer une bonne nouvelle..

Quelqu'un exerce le pouvoir jusqu'à la fin de la convalescence de sa majesté.

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

N'éprouvant aucune émotion sur son regard, il sourit intérieurement. Il n'allait tout de même pas démontrer un bonheur à ce que le roi était " dans un profond sommeil " comme il disait. Lui se disait qu'une France pouvait rester sans un roi pour quelques jours, surtout s'il n'avait pas été au courant. Aussi il ne répondit au docteur que par un hochement de tête et des remerciements. Louis-François appela un domestique :

" Qu'on fasse venir au plus vite le baron de Turraine dans mes appartements, j'ai quelques directives à lui donner. " Que comptait-il faire ? Empêcher toute sortie et toute relation avec l'extérieur dans Versailles. Il ne faudrait pas que des " chuchotis " circulent jusqu'au peuple. Un roi inconscient, voyez ce qui pourrait se passer dans la tête peu remplie des gens du peuple. Ainsi sortit-il de la chambre où se trouvait son cousin, Conti eut droit à un " bain de foule " le même de celui qu'il avait pu avoir en tentant de mettre un pied dans la chambre royale.

" Le roi va, dans quelques jours il sera remis sur jambes. Pendant, c'est moi, qui prendrais pouvoir durant le temps qu'il faudra pour que notre bon roi puisse reprendre ses nobles fonctions et gouverner au mieux notre France. Comme il a toujours fait, et voulut le faire. " Suivit après ses mots de quelques courtisans, il arriva jusqu'à ces appartements où là il fit fermer toutes les portes. Attendant impatiemment l'arrivée du baron de Turraine.

**Fiche du personnage** Points de vie: (500/100)

Marie-Antoinette arriva sur les entre faits..Elle venait d'etre prévenue et sans attendre ses dames d'atours elle se precipita en direction de la chambre du Roi son epoux...Les dames d'atours durent
courir pour la rejoindre...La reine se presenta devant la porte qui s'ouvit la laissant passer
Etendu sur le lit ,pale, immobile, inconscient Le Roy gisait la. A sa vue , Marie Antoinette palit , inquiete et se precipita a son chevet

Louis, mon amii que vous est il arrivé?

Marie-Antoinette prit la main de son epoux entre les siennes et pria pour qu'il se reveille puis tournant la tete dit

Que s'est il passé ? Qu'est il arrivé au Roi?

Où étais-je? J'étais dans le noir. Je ne voyais rien. Je priais pour mon salut. L'aurais-je? Je ne sais. Je devais me réveiller. Je ne pouvais pas voir si mes volontés avaient été respectés. Les médecins faisaient leur offices. Marie n'était pas là. Pour l'instant. La coure était partis, ils allaient voir après le régent. Normal, au cas où le roy ne se réveille pas, faute d'héritier, le trône lui revient. Ce n'allait pas se passer ainsi. Car, les médecins discutant entre eux de mon état, mes yeux s'ouvraient. Doucement. Je papillonnais des sourcils. Le surplus de lumière me brûlait les yeux encore non-habitués à la lumière ambiante. Je gémissais. Mon premier médecin me voyait, il s’avançait et failli crier au miracle. Le grand chambellan allait dans le couloir et dit:

Le roy est réveillé! Il est réveillé!

La masse de la coure se rapprochait petit à petit. Ah c'est pas vrai. Les revoilà eux. Je ne pouvais pas bouger. J'étais fatigué et j'avais soif. Les médecins avaient humidifié mes lèvres la veille. D'une voix roque je dis:

De l'eau.

à peine réveillé que je donnais des ordres. Pfiou. L'on m'en apporte. L'on m'aide à me redresser et je bois faiblement l'eau qui m'est tendu. La question que je n'osais pas poser c'est combien de temps j'étais resté dans ce palpitant sommeil. L'on me demandait si j'allais bien.

Je suis courbaturé.. Et fatigué..
-"Pourtant, sire,vous avez dormi plus de trois jours."
Trois jours.. Qui a prit la régence?
-"La régence sire.. Ne doit être pour l'instant votre préoccupation. Nous recommandons à sa majesté de resté alité encore quelque heures ou dans le maximum, quelques jours.
Quelques heures oui.. Mais je veux savoir tout ce qui c'est passé pendant mon absence.

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Citation :: De Charles-Louis de Berry
Baron de Turraine
Secrétaire d'Etat à la guerre
Major Général de la Garde Royale

A Sa Majesté le Roy de France et de Navarre

Sire,
Je vous informe de ma récente réforme des armées. Grâce à cela, vous avez l'Armée la mieux équipée d'Europe. Chaque homme possède un équipement complet lui permettant d'assurer sa défense et ainsi d'avoir une meilleure facilité à combattre. Tout cela sans dépasser le budget des armées.
Vous aurez certainement la joie d'apprendre qu'il y a des remous dans les colonies britanniques d'Amérique du Nord.
Puissiez vous vous remettre,

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Citation :: De Charles-Louis de Berry
A Sa Majesté Louis le Seizième

Fait à Paris le 04 Mai
Voici la liste de ce qu'il s'est passé lors de votre absence:
-Monsieur Berthier est sous ma surveillance dans la Garde afin de trouver un poste qui lui convienne.
-Votre cousin a effectivement prit la régence et m'a nommé au Services secrets du Roi.
-Madame Fleur Delamaison, baronne de Clamart était contre la régence du Prince de Conti et ce dernier soupçonne la baronne de s'approprier le pouvoir.
-Une réforme de la Garde a vu le jour sur les horaires de garde.

Rien de plus ne s'est passé. Quant aux hommes, ils seront prêts.

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Un valet couru vers la chambre royale avec un billet. Il hurlait pour que l'on puisse le laisser passer.

Citation :: De Charles-Louis de Berry
A Sa Majesté, Louis le Seizième

Sire, je souhaiterai vous demander audience pour parler de l'Europe. Ceci est très urgent.
Mes salutations distinguées

La cohue. La cohue se déplaçait dans la chambre du roi. Aujourd'hui plus personne sauf les plus fidèles des fidèles. Tous craignent un départ prompt de ce bas-monde. Aucun fils n'avait été fait à la France et la situation de Louis ne changeait pas. Chaque jours le même refrain.. Louis restait seul accompagné de trois gardes, dans les bras de Morphée qui ne se décide pas à le ramené à sa France. Son royaume, son Versailles ne semblait même plus tourné rond. Comme un chapiteau dont le premier pilier vacille.

Le réveille de Louis ne se fut pas immédiatement. Dans un premier temps, le grand Louis, chétif et malade était de nouveau parmi eux. Entendant les moindres faits et gestes de ce qui se passait dans la royale chambre. Il était là mais il était prisonnier de son corps qui il fallait le dire, faisait tout pour le maintenir chez Morphée. C'est durant cette période là que le cerveau. Il pensait en un premier temps à la France. Celons les dires de monsieur Jouvies, comte de Strasbourg qui aimait à parler une heure durant à Louis, Charles-Louis de Berry et la jeune Isabelle Delorme. Intendante de Paris. La royale personne pensait librement en l'absence des courtisans venus chez le comte d'Artois , légitime porteur de la couronne à la mort de Louis. Il pensait à la récompense à attribué aux deux personnes. Pourquoi ne pas le titré du comté du Languedoc ? Après tout, il avait été ministre de la guère et principal gérant de la monarchie en son absence. Si l'homme était comte pour ses fonctions gouvernementales..

La femme serait titrée d'un titre de Vicomtesse de Nanterre. Quant à monsieur le comte de Strasbourg, il sera titré également du titre de duc d'Ayens. Les personnes méritantes auraient au moins leurs accès à la cour de France. Ce ne fera que deux courtisans de plus.

Aujourd'hui, 04 août, sa majesté pendant que monsieur de Jouvies parlait, avait ouvert les yeux et papillonné des yeux sous l'effet de la lumière. Le comte se gardait bien de dire sa découverte aux médecins du roi. Il adressa seulement un sourire. Comme l'on sourirait à un pauvre dans la rue. Le roi pleurait sous l'effet de la lumière. Il ne pleurait pas comme l'on verrait pleurer un enfant, non. Il pleurait sans bruit. Il ne pouvait bouger, mais cela faisait penser à un réveille prompt. La veille, les rumeurs les plus folles avaient circuler dans la cour comme quoi le roi se serait réveillé et marché jusqu'au salon d'Apollon. C'est ce qui avait conduit les fidèles restreints, à ne plus aller voir ce roi dit : capricieux et faisant semblant d'être malade pour ne pas gouverner.

Le cinq août au matin, les médecins entraient dans la chambre et leur émerveillement était sans nom. Le roi était là. Dans son lit en position semi assise sous les couvertures. Le roi était de nouveau là. Il s’empressèrent de prodiguer au roi les quelques remèdes qu'ils n'arrivaient pas à faire ingurgiter au roi, et le roi de France dit finalement..

« Messieurs cessez nous sommes réveillé.Allez plutôt prévenir la cour. »

Aux ordres de sa majesté, les médecins ouvraient donc les deux grandes baies-vitrées et clamèrent haut et fort :

« Le roi est réveillé ! Le roi est réveillé ! »

Foule de courtisans, de nobles, d'employés, de gardes se présentaient en courant devant la porte du roi. Les jardins avaient été désertés, les salons de tous les cotés de la chambre du roi avaient été noir de monde, bruyant. Chauds. Les gardes arrivaient en urgence pour ne pas que les courtisans en poussant la porte l'ouvre. Ils étaient passés par les passages secrets. Les gardes bleus veillaient au grin dans la pièce. Deux rangées de gardes sabres au clair dispersaient la foule et le roi. Par deux grand-gardes (Que l'on reconnaît pour leur tenue tout de blanc où figure sur le torse les armes royales avec sur le plastron des lignes jaunes or. Ils étaient les seuls à porter des hallebardes. ) qui formaient la protection rapprochée du roi. La foule titrée seulement puit venir et s'incliner devant le souverain. Il prononça ces mots simpls :

« Mesdames, messieurs, nous repronons la gestion de notre état et nous remercions le baron de Turraine et la baronne de.. » Louis a, un trou de mémoire à ce moment là. « Mademoiselle Delorme. Nous les titrons de l'ordre du Saint-Esprit. Le très estimable baron de Turraine est élevé au titre de Comte. Il sera désormais le seigneur légitime du Languedoc. Quant à mademoiselle, elle est également titrée au titre de Vicomtesse de Nanterre. Il est temps que nous reprenons la pleine gestion de notre état. Aussi, la régence est terminée. »

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Le Roi, le Roi est réveillé. Charles-Louis avait tiré Isabelle de ses appartements pour la mener dans la chambre du Roi. Quand ils rentrèrent, ils furent derrière une foule de titrés quand un valet les annonça. Le baron s'inclina.
"Vôtre Majesté, lors de ce sommeil qui vous a maintenu, mon humble personne et Mademoiselle Delorme avons fait nôtre possible pour maintenir le Royaume en état. Nous sommes des plus heureux de Vous voir en possession de vôtre pleine puissance et vous remercions de vos attentions à nôtre égard."

Il se garda bien de lui parler de la Vendée, cette dernière devrait cesser sa rébellion maintenant que le Roi est réveillé et l'Autriche se calmera sur ses intentions.

**Fiche du personnage** Points de vie: (100/100)

Isa entendait du bruit , cela s 'agitait, et des cris .

Le roy !!!Le roy !!!!

Voila que Charles le prenait par le bras, du moins l'a tirait.
Le roy était réveiller , voila une très bonne nouvelle . Elle ne pus que suivre Charles .
Une fois devant la porte du Roy , on aurait dit une envoler de moineau.
Toujours emporter par la foule qui se presse pour voir le Roy, isa avait été annoncer et resta derrière Charles.
Elle regardait le Roy qui se tenait presque assis. Elle s'inclina respectueusement face au Roy.
Puis , elle pris la parole a son tour.

Majesté,je suis ravie de vous voir éveiller, Comme vous le dit Le Baron, nous avons fait que notre devoir envers vous.