[RP] Secrétariat royal.

Citation :: De sa majesté Louis le Seizième du nom. Roy de France, Roy de Navarre, Grand-maître de l'ordre du Saint-Esprit, de Saint-Michel, Duc de Berry, Comte de Flandre
Au marquis de Duvrance, premier secrétaire du roi.

Fait à Versailles le 06 août de l'an de grâce 1774

Monsieur,
Veuillez de prier d'étiqueté et de mettre en forme l'anoblissement de mademoiselle Isabelle Delorme, seigneur de Crinquebeuf, au titre de Vicomtesse de Nanterre. L'anoblissement de monsieur Charles-Louis de Berry au titre de comte du Languedoc. Le retrait du titre de ce cher cardinal Stéphane d'Aguesseau de son titre et de son fief de comte de Nanterre. L'accord du titre de chevalier de l'ordre du Saint-Esprit à monsieur de Berry et à madame Delorme. Vous écrirez surtout la fin de la régence

Que Pascal vous garde!

PNJ

Citation :: LETTRE NOBILIAIRE
DU ROY DE FRANCE & DE NAVARRE
LE 06 AOÛT 1774

Donnée à Versailles à la date du 06 août 1774.
Enregistrée par la Hérauderie de notre royale personne le jour même.

________________________________

LOUIS, ROY DE FRANCE & DE NAVARRE PAR LA GRÂCE DE DIEU PASCAL; à tous et advenir: LE SALUT.
Notre principal soin est celui de remercier et d'encourager par des titres et distinctions accordées à ceux dont le génie, secondé par une méorable émulation et une étude suivie, a rendus capables de porter leurs talents au plus haut degré de perfection. C'est en partit pour ces motifs que nous sommes déterminé à donner des marques de notre bienveillance à CHARLES-LOUIS DE BERRY, ex-régent de France, colonel de la maison bleue, des grand-gardes et des cent-suisses. Connu pour sa gestion des troupes armées. Il s’acquitta et ce avec brio, de gérer la politique intérieur & extérieure, la gestion économique et administrative. Le brillant travail nous engage à le posséder des terres du Béarn. Cependant des atouts aussi supérieurs ont droit légitimement à des récompenses qui passent à la postérité. Et nous sommes d'autant plus volontiers à lui accordé une grâce de ce type, qui sera en même temps, une preuve de notre satisfaction que nous ressentons.

A CES CAUSES & AUTRES à ce nous plaisant, et notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, nous avons anobli par ces présentes, signées de notre main, anoblissions le susdit Charles-Louis de Berry, en qualité de Comte. Voulons et nous plait qu'il soit tenu, censé et réputé comme nous y tenons. L’aîné des enfants, mâle ou femelles, né d'un légitime mariage, pourra & devra porter et honoré le titre de Comte et pourra & devra acquérir au gain de dieu, le fief du Béarn. Les enfants et postérité pourront & devront touché une juste pension, à laquelle le susdit Charles-Louis de Berry aura droit, de 200.000 livres par mois. NOUS TITRONS A TITRE EXCEPTIONNEL POUR SES SERVICES NOMBREUX, LEDIT SIEUR DE BERRY A L'ORDRE DU SAINT-ESPRIT

DONNONS EN MANDEMENT à nos prestigieux et fidèles conseillers, les Gens tenant notre Conseil, et à tous nos officiers et justiciers qu'il appartiendra, que ces présentes, ils aient à faire registrer même en temps de vacations, et du contenu en icelles, jouir et user ledit sieur de Berry, ensemble ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles, nés et à naître en légitime mariage, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessants et faisant cesser tous troubles et empêchements contraires, nonobstant tous édits, déclarations, ordonnances, arrêts et règlements auxquels et aux dérogatoires des dérogatoires nous avons dérogé et dérogeons pour ce regard seulement et sans tirer à conséquence, CAR TEL EST NOTRE BON PLAISIR. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.

Donnée au palais de Versailles le 06 août 1774.

Ecrit par le secrétariat de sa majesté le roi

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[b]LETTRE NOBILIAIRE
DU ROY DE FRANCE & DE NAVARRE
LE 06 AOÛT 1774[/b]

Donnée à Versailles à la date du 06 août 1774.
Enregistrée par la Hérauderie de notre royale personne le jour même.

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[b]LOUIS, ROY DE FRANCE & DE NAVARRE PAR LA GRÂCE DE DIEU PASCAL[/b]; à tous et advenir: LE SALUT.
[i]Notre principal soin est celui de remercier et d'encourager par des titres et distinctions accordées à ceux dont le génie, secondé par une méorable émulation et une étude suivie, a rendus capables de porter leurs talents au plus haut degré de perfection. C'est en partit pour ces motifs que nous sommes déterminé à donner des marques de notre bienveillance à CHARLES-LOUIS DE BERRY, ex-régent de France, colonel de la maison bleue, des grand-gardes et des cent-suisses. Connu pour sa gestion des troupes armées. Il s’acquitta et ce avec brio, de gérer la politique intérieur & extérieure, la gestion économique et administrative. Le brillant travail nous engage à le posséder des terres du Béarn. Cependant des atouts aussi supérieurs ont droit légitimement à des récompenses qui passent à la postérité. Et nous sommes d'autant plus volontiers à lui accordé une grâce de ce type, qui sera en même temps, une preuve de notre satisfaction que nous ressentons.[/i]

[b]A CES CAUSES & AUTRES[/b] à ce nous plaisant, et notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, nous avons anobli par ces présentes, signées de notre main, anoblissions le susdit Charles-Louis de Berry, en qualité de Comte. Voulons et nous plait qu'il soit tenu, censé et réputé comme nous y tenons. L’aîné des enfants, mâle ou femelles, né d'un légitime mariage, pourra & devra porter et honoré le titre de Comte et pourra & devra acquérir au gain de dieu, le fief du Béarn. Les enfants et postérité pourront & devront touché une juste pension, à laquelle le susdit Charles-Louis de Berry aura droit, de 200.000 livres par mois. NOUS TITRONS A TITRE EXCEPTIONNEL POUR SES SERVICES NOMBREUX, LEDIT SIEUR DE BERRY A L'ORDRE DU SAINT-ESPRIT

[b]DONNONS EN MANDEMENT[/b] à nos prestigieux et fidèles conseillers, les Gens tenant notre Conseil, et à tous nos officiers et justiciers qu'il appartiendra, que ces présentes, ils aient à faire registrer même en temps de vacations, et du contenu en icelles, jouir et user ledit sieur de Berry, ensemble ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles, nés et à naître en légitime mariage, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessants et faisant cesser tous troubles et empêchements contraires, nonobstant tous édits, déclarations, ordonnances, arrêts et règlements auxquels et aux dérogatoires des dérogatoires nous avons dérogé et dérogeons pour ce regard seulement et sans tirer à conséquence, [b]CAR TEL EST NOTRE BON PLAISIR[/b]. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.

Donnée au palais de Versailles le 06 août 1774.

Ecrit par le secrétariat de sa majesté le roi
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Citation :: LETTRE NOBILIAIRE
DU ROY DE FRANCE & DE NAVARRE
LE 06 AOÛT 1774

Donnée à Versailles à la date du 06 août 1774.
Enregistrée par la Hérauderie de notre royale personne le jour même.

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LOUIS, ROY DE FRANCE & DE NAVARRE PAR LA GRÂCE DE DIEU PASCAL; à tous et advenir: LE SALUT.
Notre principal soin est celui de remercier et d'encourager par des titres et distinctions accordées à ceux dont le génie, secondé par une mémorable émulation et une étude suivie, a rendus capables de porter leurs talents au plus haut degré de perfection. C'est en partit pour ces motifs que nous sommes déterminé à donner des marques de notre bienveillance à ISABELLE DELORME, ex-premier-conseiller du régent, intendante d'Isle de France. Connu pour sa gestion dans les affaires parisiennes. Elle s’acquitta et ce avec brio, de conseiller le régent de France dans ses fonctions de gérer la politique intérieur & extérieure, la gestion économique et administrative. Le brillant travail nous engage à le posséder des terres du Foix. Cependant des atouts aussi supérieurs ont droit légitimement à des récompenses qui passent à la postérité. Et nous sommes d'autant plus volontiers à lui accordé une grâce de ce type, qui sera en même temps, une preuve de notre satisfaction que nous ressentons.

A CES CAUSES & AUTRES à ce nous plaisant, et notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, nous avons anobli par ces présentes, signées de notre main, anoblissions la susdite Isabelle Delorme, en qualité de Vicomtesse. Voulons et nous plait qu'il soit tenu, censé et réputé comme nous y tenons. L’aîné des enfants, mâle ou femelles, né d'un légitime mariage, pourra & devra porter et honoré le titre de Comte et pourra & devra acquérir au gain de dieu, le fief du Béarn. Les enfants et postérité pourront & devront touché une juste pension, à laquelle la susdite Charles-Louis de Berry aura droit, de 200.000 livres par mois. NOUS TITRONS A TITRE EXCEPTIONNEL POUR SES SERVICES NOMBREUX, LA DITE DEMOISELLE DELORME A L'ORDRE DU SAINT-ESPRIT

DONNONS EN MANDEMENT à nos prestigieux et fidèles conseillers, les Gens tenant notre Conseil, et à tous nos officiers et justiciers qu'il appartiendra, que ces présentes, ils aient à faire registrer même en temps de vacations, et du contenu en icelles, jouir et user ladite demoiselle de Delorme, ensemble ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles, nés et à naître en légitime mariage, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessants et faisant cesser tous troubles et empêchements contraires, nonobstant tous édits, déclarations, ordonnances, arrêts et règlements auxquels et aux dérogatoires des dérogatoires nous avons dérogé et dérogeons pour ce regard seulement et sans tirer à conséquence, CAR TEL EST NOTRE BON PLAISIR. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.

Donnée au palais de Versailles le 06 août 1774.

Ecrit par le secrétariat de sa majesté le roi

Code:: [quote][center][img]http://img66.xooimage.com/files/7/5/7/entete-modele-30fb3db.png[/img]
[b]LETTRE NOBILIAIRE
DU ROY DE FRANCE & DE NAVARRE
LE 06 AOÛT 1774[/b]

Donnée à Versailles à la date du 06 août 1774.
Enregistrée par la Hérauderie de notre royale personne le jour même.

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[b]LOUIS, ROY DE FRANCE & DE NAVARRE PAR LA GRÂCE DE DIEU PASCAL[/b]; à tous et advenir: LE SALUT.
[i]Notre principal soin est celui de remercier et d'encourager par des titres et distinctions accordées à ceux dont le génie, secondé par une mémorable émulation et une étude suivie, a rendus capables de porter leurs talents au plus haut degré de perfection. C'est en partit pour ces motifs que nous sommes déterminé à donner des marques de notre bienveillance à ISABELLE DELORME, ex-premier-conseiller du régent, intendante d'Isle de France. Connu pour sa gestion dans les affaires parisiennes. Elle s’acquitta et ce avec brio, de conseiller le régent de France dans ses fonctions de gérer la politique intérieur & extérieure, la gestion économique et administrative. Le brillant travail nous engage à le posséder des terres du Foix. Cependant des atouts aussi supérieurs ont droit légitimement à des récompenses qui passent à la postérité. Et nous sommes d'autant plus volontiers à lui accordé une grâce de ce type, qui sera en même temps, une preuve de notre satisfaction que nous ressentons.[/i]

[b]A CES CAUSES & AUTRES[/b] à ce nous plaisant, et notre grâce spéciale, pleine puissance et autorité royale, nous avons anobli par ces présentes, signées de notre main, anoblissions la susdite Isabelle Delorme, en qualité de Vicomtesse. Voulons et nous plait qu'il soit tenu, censé et réputé comme nous y tenons. L’aîné des enfants, mâle ou femelles, né d'un légitime mariage, pourra & devra porter et honoré le titre de Comte et pourra & devra acquérir au gain de dieu, le fief du Béarn. Les enfants et postérité pourront & devront touché une juste pension, à laquelle la susdite Charles-Louis de Berry aura droit, de 200.000 livres par mois. NOUS TITRONS A TITRE EXCEPTIONNEL POUR SES SERVICES NOMBREUX, LA DITE DEMOISELLE DELORME A L'ORDRE DU SAINT-ESPRIT

[b]DONNONS EN MANDEMENT[/b] à nos prestigieux et fidèles conseillers, les Gens tenant notre Conseil, et à tous nos officiers et justiciers qu'il appartiendra, que ces présentes, ils aient à faire registrer même en temps de vacations, et du contenu en icelles, jouir et user ladite demoiselle de Delorme, ensemble ses enfants, postérité et descendants mâles et femelles, nés et à naître en légitime mariage, pleinement, paisiblement et perpétuellement, cessants et faisant cesser tous troubles et empêchements contraires, nonobstant tous édits, déclarations, ordonnances, arrêts et règlements auxquels et aux dérogatoires des dérogatoires nous avons dérogé et dérogeons pour ce regard seulement et sans tirer à conséquence, [b]CAR TEL EST NOTRE BON PLAISIR[/b]. Et afin que ce soit chose ferme et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à ces dites présentes.

Donnée au palais de Versailles le 06 août 1774.

Ecrit par le secrétariat de sa majesté le roi
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